Quand je ne souffre pas.

Ce matin un sentiment de plénitude coule dans mes veines. Ce n’est pas venu tout de suite au réveil, mais petit à petit. J’ai l’impression que tout est à sa place, mes idées sont correctement rangées. Je ne suis pas euphorique ni en souffrance mais sur une ligne médiane. 

Je peux gérer ce qu’il y a autour de moi, le matériel comme les objets et l’immatériel comme les projets.  

Les visages sont à leur place, les bras et les jambes aussi. Les envies sont réalistes et à ma portée.

J’aimerai tellement que ce sentiment soit le fondement de ma personnalité.

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