Arrêter de croire que les schizophrènes sont violents. Jacques, même en phase aigüe, n’a jamais eu le moindre geste pouvant mettre en danger la sécurité de quelqu’un.
Jacques a cependant des rêves : avoir assez d’argent pour se payer une jolie petite infirmière qui pourrait le sortir un peu de chez lui, calmer ses angoisses quand il est seul ou lui montrer de l’intérêt…
Jacques n’est pas violent mais a besoin d’amour comme tout le monde. Il est cependant incapable de parler de sa maladie à ses amis, de créer naturellement des liens affectifs. Il est trop paranoïaque. Il se méfie de tout le monde.