Je suis depuis mon réveil au bord de la crise de nerfs. Il faudrait que je me détende. J’ai marché un peu, pour évacuer, sans succès. Dans quelques heures, le repas dominical se fera chez mes parents. J’éspere d’ici là retrouver un peu de sérénité. Pour l’instant je ne tiens plus en place.
De plus,
L’horloge n’avance pas. De petites décharges électriques me parcourent tout le corps. Je sens la pression monter dans ma tête. Surtout, je n’ai pas envie de faire une crise. Je ne veux pas être hospitalisé. Je regarde dans mon pilulier. J’ai apparemment pris correctement mes médicaments.
La journée risque d’être longue. Je suis au bord de la crise de nerfs. Les anxiolytiques que j’ai pris ne font plus effets depuis longtemps. Peut être des exercices de respiration me feraient du bien.
En attendant, je me déplace de mon canapé à ma porte fenêtre, pour vapoter sans déclencher mon alarme incendie.
Vendredi matin, je suis allé à l’association de patients. Il y avait du monde, même si l’animatrice est en congés. En effet, nous nous arrangeons pour ouvrir le local malgré tout.
Mais ce matin, je fais des bonds sur mon canapé. C’est très désagréable.
En plus de cela, je me suis fait une légère blessure au genou et je ne peux même pas aller courir.
Bref, je suis au bord de la crise de nerfs. La matinée est cependant bien entamée. Mais cela risque de durer encore quelques heures. J’évite quand même de trop vapoter. La nicotine étant un excitant. Je n’ai pas besoin de cela.
Il faut que je me calme. Je suis tendu. Heureusement je suis seul. Je n’ai personne avec qui me disputer. Toute présence humaine serait vécue comme une agression. Pas au point d’être violant, mais juste désagréable. Allé Paul, cela va passer.
Bonjour, merci pour votre blog, le sirop de menthe m’apaise, j’ai un trouble de la persécution et j’écris aussi 🙂 courage
Bonsoir sandra moi cest valerie tu es dou moi jhabite chatel sur moselle a toi aussi tu a des problemes